Samantha Romano de l’Université Brock nommée récipiendaire de la bourse d’études Bob McLeod 2018-2019
OTTAWA – Wrestling Canada Lutte a le plaisir d’annoncer que la championne canadienne junior de 2018 chez les 50 kg, et vice-championne de U SPORT en 2018 chez les 48 kg, Samantha Romano de l’Université de Brock, a été choisie à titre de récipiendaire de la bourse d’études Bob McLeod pour l’année scolaire 2018-2019.
Samantha, native de Toronto qui fait ses études à l’Université de Brock, est sociétaire du club de lutte de Brock. Elle fait preuve de passion et de dévouement, en plus d’exceller sur les tapis et dans les salles de classe. Elle est un modèle ce qu’il faut faire pour réussir en compétition et dans les études. Grâce au soutien de ses amis, de sa famille, de ses entraîneurs et de ses coéquipiers, elle est persuadée que sa passion et son engagement la mèneront un jour à son objectif ultime de combattre pour une médaille olympique.
Nous avons rencontré Samantha et lui avons demandé de commenter les sujets suivants :
Quand et où as-tu commencé la lutte, et qui ont été tes entraîneurs jusqu’à présent?
J’ai commencé la lutte à l’âge de huit ans. J’ai entendu une annonce à mon école élémentaire, la Meadowcrest Public School, demandant à tous les élèves intéressés par la lutte à venir au gymnase chercher un formulaire d’autorisation. À l’époque je ne savais pas grand’ chose au sujet de la lutte, et je présumais que c’était quelque chose que seulement les garçons peuvent faire. Quand est venue l’heure de la récréation, alors que j’allais sortir de la classe, mon professeur m’a demandé si j’allais chercher un formulaire d’autorisation. Je lui ai jeté un regard intrigué, car je ne comprenais pas comment il pouvait penser qu’une petite fille menue comme moi pouvait même s’intéresser à la lutte. Cependant, mon professeur m’a dit de ne pas laisser tomber avant même d’essayer. Alors j’ai décidé d’aller essayer ce sport, et à ma grande surprise, j’ai adoré ça!
Mon entraîneur à l’école élémentaire était Dan Chartres, qui était aussi entraîneur du club local de lutte, Team Impact. Et il m’a aidée à acquérir tous les fondamentaux de la lutte, et m’a inculqué la détermination de devenir une compétitrice sur les tapis.
Quand je faisais partie du programme des jeunes de Team Impact, mes entraîneurs étaient Dan Chartres, Ken Burgess, Ann Elliott, et Ron Boucher. Et ils ont tous contribué à m’inculquer les bases techniques de la lutte, et m’ont aidée à me préparer au programme de lutte cadet et juvénile. À l’école secondaire mes entraîneurs étaient Stan Tzogas, Kerry Ashley, Kyle Chocorlan, Alan Chocorlan, et Ken Burgess, aussi bien à mon école secondaire, Pickering High, qu’à Team Impact, sans compter les autres entraîneurs de Team Impact : Laura Steffler, Kimin Kim, Mike Quincy, Courtney Lewis, Jay Jordan, Rob Huggins, Paul Harrison, Todd Idenouye, Fred Ortencio, Calum McNeil, et Saeed Azarbayjani
J’ai alors choisi d’aller faire mes études supérieures à l’Université de Brock, et je m’entraîne maintenant depuis deux saisons avec Marty Calder, Dave Collie, Chris Prickett, et Tonya Verbeek.
Je n’aurais pas pu réussir sur les tapis sans l’aide et le soutien de tous les entraîneurs qui m’ont guidée et qui ont développé mes habiletés de lutte, aussi bien maintenant que les années précédentes.
Quels sont tes objectifs pour le reste de l’année?
Pour le reste de la saison 2018-2019, je vais m’entraîner fort afin de pouvoir remporter une autre médaille d’or au Championnat canadien en mars prochain, et pour me qualifier à nouveau au sein de l’équipe nationale junior. De plus, je suis déterminée à améliorer mon résultat au Championnat panaméricain junior par rapport à l’an dernier (5e place) en ramenant une médaille à la maison, ou pourquoi pas remporter le tournoi pour le Canada. Je travaille aussi dans le but de me mériter la chance de représenter le Canada au Championnat du monde junior de 2019.
Est-ce que tu vises déjà une carrière spécifique, ou est-ce que tu vas décider ça plus tard au cours de tes études?
Pour l’instant, je suis en premier cycle de psychologie. Et quand j’aurai mon diplôme de premier cycle, j’aimerais faire une maîtrise en travail social. Idéalement, je vise une carrière de travailleuse sociale. J’aimerais faire du travail social avec un accent sur les maladies mentales chez les enfants et (ou) les adolescents.
Quelles sont tes aspirations de réussite internationale en représentant le Canada?
Mes aspirations de réussite internationale en représentant le Canada consistent à remporter des médailles d’or au niveau des Jeux panaméricains et des championnats du monde. Je pense que ces tournois sont des étapes importantes vers mon but ultime qui est de devenir une athlète olympique un jour. Avec du travail acharné et un dévouement sans bornes, et en bénéficiant du soutien inconditionnel de ma famille, de mes amis, de mes entraîneurs et de mes coéquipiers, je souhaite devenir non seulement une athlète olympique, mais aussi ramener à la maison une médaille d’or olympique!
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